9. Conclusion

  • Tous les jours Dieu a été présent dans cette traversée, et s’est occupé de ce peuple : jamais il n’a été absent de sa pensée. Lui qui a dit : « Je t’ai gravé sur les paumes de mes mains » (Es.49.16).
  • Nous ne devons pas craindre, ni même être étonnés des périodes de désert dans nos vies, car nous devrions être sûrs que le Rocher spirituel qui suivait, à leur insu, les fils d’Israël dans le désert (1.Co.10. 4) est lui aussi derrière nous, qu’Il nous suit encore, qu’Il est toujours là.
  • Parce qu’il a été frappé, il coulera toujours pour nous une eau vive qui nous permettra de vivre et de traverser le désert.
  • L’Eglise est donc le peuple du désert, c’est un peuple qui est en construction.
  • Et quel peuple différent entre celui qui rentre dans le désert, et celui qui en sort. Ce ne sont plus les mêmes personnes : les pères (représentant la vieille nature) sont morts, ce sont les enfants (la nouvelle nature) qui entrent dans le pays de Canaan pour le posséder.
  • Conduit par Dieu au désert, jamais par punition, à cause d’un péché ou d’une défaillance.
  • Lieu de rupture dans la mentalité pour passer d’esclave à fils.
  • Chemin de questions et de pourquoi, mais aussi un lieu où Dieu répond, en donnant une nouvelle loi dans les cœurs.
  • Chemin de rencontre avec la voix de Dieu, où je vais à lui d’une manière volontaire pour l’écouter.
  • C’est le temps de l’épreuve de la foi, de la patience, le temps de la tentation et du veau d’or.
  • Le temps où le tentateur voudra me donner mauvaise conscience, voudra me culpabiliser justement parce que je suis au désert.
  • Le temps d’un soutien miraculeux.
  • Le temps où n’existe plus que ce qui est éternel.